[] Standley William Hayter

(sem referências)

Ver Mais:

http://www.annexgalleries.com/cgi-bin/search.cgi?searchstring=Hayter&andor=AND&images=show

[] Charles Long . Whitney Biennal 2008

'Born 1958 in Long Branch, New Jersey; lives in Los Angeles, California

Charles Long’s interest in opposing formal and metaphysical forces informs a complex sculptural lexicon marked by radical stylistic shifts that are difficult to categorize. Incorporating an extraordinarily rich range of media, his process-based sculptures continuously show the artist’s struggle to connect the cosmos to the physical world, inside space to outside, through what the artist describes as the “implosion or explosion” of materials. Though visually the organically shaped sculptures recall the modernist works of Constantin Brancusi, Isamu Noguchi, or Theodore Roszak, their nonrepresentational ambiguity encourages surrealistic interpretive free associations.

The Amorphous Body Study Center (1995), a collaborative project with British pop group Stereolab, and Long’s 1997 Whitney Biennial contribution, epitomizes his colorful, blobby, biomorphic sculptures of the 1990s. Over the past ten years, this anthropomorphic style has mutated into white, gray, and pastel-colored sculptures that are now nearly devoid of Pop references, while still wittily limning the space between abstraction and figuration. Two recent exhibitions at Tanya Bonakdar Gallery in New York and Brown University’s David Winton Bell Gallery demonstrated how Long has elaborated personal life experiences to comment on the human condition and the artist’s ever-evolving definitions of beauty.

Since relocating from New York, Long has mined the Los Angeles River both for materials and as a source of rich meanings. Poem of the River (2005) is a steel armature covered with plaster-coated debris collected from the river basin. Placed upside-down as it dried, its frozen drips of plaster emulate the detritus clinging to river basin trees in the poststorm ruination following heavy rains. Agnes Martin Kippenberger (2005) is a conflated homage to two artists representative in Long’s mind of control versus chaos: from a metal base, several copper poles—“rational supporting elements”—protrude upward to hold skull-like forms cast from cement mixed with riverbed sediment. At Brown University in 2005, these haunted, postapocalyptic works were exhibited with sculptures incorporating bare lightbulbs that enhanced the spectral atmosphere through shadow while emphasizing dynamic shapes and textures. Also created from scavenged river junk and silt, papier-mâché, and plaster over steel armatures, the sculptures in Long’s 2007 exhibition knowirds at Tanya Bonakdar Gallery are his most abject and apparitionlike works to date. Reminiscent of Alberto Giacometti’s frail figures, these pieces are modeled after the great blue heron excrement that streaks the concrete river embankment. Long sees his tall, desiccated ghosts as harbingers of death that paradoxically assert the resilience of life through their inclusion of every imaginable type of refuse. All untitled, these pieces were exhibited alongside framed albumen photographs of the heron droppings to which they allude. Here, Long has arrived at forms that are as concise as his notion that making artwork is both treacherous and life affirming'.

Author: TRINIE DALTON

Disponível:

http://whitney.org/www/2008biennial/www/?section=artists&page=artist_long

[] Chantal Mouffe Artistic Activism and Agonistic Spaces

www.artandresearch.org.uk/v1n2/pdfs/mouffe.pdf

Outros sites:
http://roundtable.kein.org/node/545

http://www.fatimacleide.com.br/?p=2257

[] Novas Margens . interstícios

http://www.art-espace-public.c.la/

http://www.estuaire.info/009/

[] Edgar Martins

Ver:

http://www.edgarmartins.com/
http://www.revarqa.com/content/1/167/edgar-martins/

http://blog.photoshelter.com/2008/04/edgar-martin-topologies.html

http://alexandrepomar.typepad.com/alexandre_pomar/edgar_martins/



Disponível em :
http://tv1.rtp.pt/noticias/index.php?headline=46&visual=9&tm=4&t=Edgar-Martins-venceu-o-BES-Photo-2008.rtp&article=212906

[] Catastrophes et risques : de l'empirique à la critique . Disaster and risk: from empiricism to criticism . 2010

'L’association ARCRA organise un colloque international, en juin 2010, qui s’inscrit dans la continuité des réflexions posées lors de la journée d’étude d’avril 2008, mais élargit la problématique et le champs des sciences sociales concernées. Appel à communications pour le 30 juin 2009'.

Colloque international - 17-18 juin 2010 à Paris (CERI-EHESS)

La large médiatisation des catastrophes technologiques ou naturelles, ainsi que l’annonce de la multiplication et de l’intensité croissante de ces dernières sous l’effet du changement climatique, font des catastrophes et des situations désignées comme « à risques » des questions de recherche qui émergent en sciences sociales depuis maintenant presque vingt ans. Par ailleurs, de nombreux travaux – allant de la sociologie politique à la sociologie du droit en passant par la sociologie des sciences ou des organisations – se sont développés en France au cours de la dernière décennie afin d’appréhender les risques générés par les avancées technologiques et industrielles (OGM, téléphonie portable, nucléaire…) et les processus sociaux et politiques qui accompagnent l’apparition de ces risques sur la scène publique (« mise en risque », mobilisations, constitutions de collectifs de « victimes »…). Néanmoins, malgré l'intérêt et l'importance de ces travaux, les angles choisis conduisent parfois à réduire l'analyse des catastrophes aux présupposés de l'exceptionnel et de l'urgence, ainsi qu’à cantonner l'appréhension des risques aux catégories pratiques de vulnérabilité/résilience/prévention. En outre, les approches focalisées sur les représentations élaborées par les populations sont parfois convoquées pour proposer une lecture culturaliste qui repose sur un clivage entre experts et profanes. Ce colloque propose donc de dépasser ces réductions et ces frontières, en invitant à aborder la catastrophe et le risque comme un continuum de constructions (la catastrophe étant présentée comme l'horizon du risque), en s'intéressant aux processus locaux qui accompagnent ces situations et en mettant en lumière la complexité des dynamiques à l’œuvre. Le local est envisagé ici en interaction permanente – et particulièrement aiguisée dans ces situations – avec d’autres échelles (global ou national à travers le monde de l’assistance post-crise, les dispositifs de prévention, de prise en charge ou de reconstruction…).

Il est encore assez courant de constater, dans certains travaux portant sur des catastrophes, que l’attention se focalise en premier lieu sur le moment de crise, puis sur les activités de secours et d’assistance immédiate, soulignant les caractéristiques d’exceptionnalité et la mise en suspens de la temporalité de la crise. Dans le même esprit, de nombreuses études se focalisent sur les activités de prévention des risques dans les périodes qui suivent une catastrophe, inscrivant là aussi la temporalité dans le domaine de l'exception et rendant insuffisamment compte de l'ordinaire et des routines à l'œuvre. Or, la présentation d’un « temps suspendu » avant le « retour à la normale » doit être questionnée au regard des enquêtes de terrain et des corpus empiriques (contemporains ou historiques) qui plaident pour inscrire les catastrophes dans le temps long et s’intéresser au quotidien réinventé par les acteurs locaux. Ainsi, les situations de « crise » provoquées par les catastrophes de tous types donnent naissance à un temps propre au cours duquel de nombreux enjeux apparaissent, des dynamiques sociales émergent et de nouvelles configurations entre groupes s’installent. En particulier, les interventions de l'Etat et des acteurs caritatifs et humanitaires nationaux et internationaux pour venir en aide aux populations affectées, tout comme les dispositifs de prévention, modifient les contextes locaux. Les interactions entre les pratiques à l’œuvre chez les populations et celles des institutions d'assistance ou de gestion des risques traduisent la confrontation entre des mondes différents, entre institutionnels et habitants, entre acteurs humanitaires et « bénéficiaires », entre les mises en récit médiatiques et l’expérience vécue, entre le local et le global. Dès lors, le retour à la normale peut apparaître comme la première fiction de la catastrophe.

Les situations dites « à risque » et les catastrophes donnent ensuite souvent lieu à une lecture culturaliste qui s’appuie sur les figures génériques et dichotomiques de la victime et du secouriste, de l’expert et du profane, du fatalisme et de la gestion, du rationnel et de l’irrationnel. On retrouve également cette dichotomie dans les travaux qui s'intéressent aux registres d'interprétation des catastrophes et opposent le registre de la « calamité » à celui, postmoderne, du « risque ». Les notions de « culture du risque » ou de « sous-culture du désastre » n’épuisent cependant pas les matériaux empiriques. Les enquêtes ethnographiques ou, dans une perspective historique, les consultations d'archives révèlent au contraire des formes d’hybridation entre des logiques différentes, ainsi que des pratiques anciennes de gestion du risque chez des acteurs qui recourent à des savoir-faire empruntant à la fois à leur connaissance empirique de leur environnement et à des systèmes de représentations complexes. La logique du « faire avec » le risque et la catastrophe conduit l'ensemble des acteurs (habitants, responsables institutionnels, gestionnaires...) à de perpétuels ajustements, remettant en question les frontières établies par les analyses en termes de « culture », participant d’une forme d’invention idéelle de la tragédie collective.

Enfin, certains travaux envisagent la catastrophe comme une mise à l’épreuve de la vulnérabilité d’un système ou d’un fonctionnement collectif, ou comme un révélateur des formes de résilience d’une société ou d’un groupe social. Pourtant, les notions de résilience et de vulnérabilité n'épuisent pas le foisonnement des recompositions locales, des redéfinitions que les habitants des territoires affectés par une catastrophe ou désignés comme « à risque » élaborent. Enjeux autour du retour sur place, de la reconstruction et du relogement ; utilisation des ressources identitaires et politiques de la catastrophe par les « victimes » ou des ressources de la prévention par les « vulnérables » ; interventions normatives et concurrentielles des acteurs humanitaires, des organismes de secours et des acteurs de la prévention ; entrée sur la scène politique de certains collectifs ; recomposition de la mémoire collective à travers un rapport renouvelé au passé ; recherche d’explications du drame à travers des logiques d’accusation et de désignation de responsables sont autant de dynamiques complexes qu'il est important de saisir. Tous ces enjeux doivent être mis en regard de dynamiques plus larges, observables dans les interactions avec l'espace des acteurs internationaux qui interviennent autour des catastrophes et des risques, donnant à voir les transformations contemporaines de la notion de sécurité. Grâce à des corpus empiriques, les sciences sociales apportent des éléments de connaissance précieux sur ces contextes d’une grande richesse et complexité.

Le colloque invite donc les travaux de sciences sociales (contemporains et historiques) qui, à partir de recherches empiriques (enquêtes de terrain, travail sur des archives...), s’interrogent sur les dynamiques sociales et politiques à l’œuvre dans ces situations et portent plus précisément sur les interactions entre les populations et les divers intervenants qui déploient leurs actions de prévention ou de prise en charge. Trois axes organiseront la réflexion :
1. De l’événement à l’objet de recherche

On souhaite dans cet axe présenter des travaux qui proposent de redonner aux catastrophes et aux situations de risques la densité et l'épaisseur qui les caractérisent en les réintroduisant dans des jeux d'échelles et de temporalités dynamiques et heuristiques, en analysant ces événements et ces situations à partir de perspectives qui articulent le micro et le macro, le local et le global, le temps long et l'urgence, les petits désastres et les grandes catastrophes, etc.. Les éléments de réflexion méthodologique sur les corpus, la conduite d’enquêtes dans ces contextes singuliers ou encore les archives choisies pour aborder ces questions participent également de l’explicitation de la construction d’un objet de recherche à partir de la thématique du risque et de la catastrophe.
2. Au-delà de la « culture du risque » : confrontations et circulations des savoirs et des pratiques

Il s'agit ici d’introduire des travaux qui analysent les pratiques hybrides, les recompositions, les ajustements que provoquent les situations de catastrophes et de risques. En espérant dépasser une certaine forme de culturalisme donnant lieu à des dichotomies réductrices entre connaissances et pratiques « expertes » et « profanes », nous encourageons les interventions qui analysent les confrontations entre différents types de savoirs et qui s'intéressent aux circulations des outils, des acteurs ou des pratiques entre les différentes sphères sociales en interaction.
3. L’espace politique des catastrophes et des risques

En réintroduisant l’analyse des dynamiques qui naissent au cœur des situations de catastrophes ou de risques, on cherchera à capter les usages politiques que les différents acteurs font de ces situations. Quelles sont notamment les ressources dont ils disposent pour formuler des critiques, construire des mobilisations ou développer des formes d’appropriations ou de résistances face aux dispositifs de « gouvernance » de ces situations, souvent présentés par leurs instigateurs comme hors du champ politique ou analysés par les sciences sociales en terme de « biopolitique » ? En observant à partir de terrains locaux les différentes interventions d’acteurs nationaux et internationaux (Etats, organisations non gouvernementales, organisations internationales), on s’interrogera sur les transformations de la notion de sécurité auxquelles ces interventions et leurs formes de légitimation contribuent'.

Disponível em:
http://calenda.revues.org/nouvelle12277.html

[] Bienal de Quebeque . Catastrophe? Quelle catastrophe! Nous vivons tous dans un monde catastrophique!

'LA THÉMATIQUE

Catastrophe? Quelle catastrophe!
Nous vivons tous dans un monde catastrophique!

Pendant que la catastrophe domine l’imaginaire contemporain et les médias de masse, son réel impact reste insaisissable. Son hyper visibilité protège son fondement; l’omniprésence des événements catastrophiques crée un écran de fumée, ce qui rend invisible le réel travail de la catastrophe. Politiquement, l’événement catastrophique est utilisé pour légitimer la promulgation des états d’exception. Mais, dans les dernières années, la catastrophe a aussi été utilisée de façon préventive ; nous n’avons même plus besoin de catastrophe pour être assujetti à sa logique. Ainsi, sa temporalité s’est modifiée, son terrain opérationnel s’étant étendu à la totalité du temps et de l’espace. Son champ d’action est tel que la catastrophe est devenue la condition même de la vie contemporaine. Si pendant la deuxième guerre mondiale Walter Benjamin pouvait définir l’histoire comme « une seule et unique catastrophe qui ne cesse d'amonceler ruines sur ruines et les jette à ses pieds », Slavoj Zizek a récemment démontré que la catastrophe s’est étendue au futur, « la vraie catastrophe étant maintenant cette vie à l’ombre de la menace permanente d’une catastrophe. » La vie quotidienne est désormais l’arène de catastrophes « low level » incessantes et inéluctables. Elle est aussi le théâtre d’exception où la démocratie et l’égalité sont réduites à leur simple forme.

Si la catastrophe est le dénouement du jeu théâtral chez les Grecs, elle tapisse désormais nos vies quotidiennes et en devient la trame sonore. De plus, le concept de catastrophe opère aussi dans une sphère élargie qui inclut les mathématiques et la biologie tout comme la littérature et la théorie.

Cet événement autour du thème de la catastrophe regroupera les productions nouvelles et récentes d’artistes évoluant sur la sphère planétaire. Ces œuvres nous incitent à discerner des stratégies de résistance au travail d’anéantissement lent, incessant et non spectaculaire de la catastrophe. Pour y arriver, seront déployées diverses plateformes complémentaires dans une période de temps – « workshop » et groupes de réflexions, conférences, colloque et séminaire en ligne, publications, expositions, visionnement et performances.

Le projet lancera une série de questionnements qui raffineront la notion de catastrophe tout en réévaluant les concepts fondamentaux en arts visuels :

1. L’imagerie de la catastrophe / L’image comme catastrophe / L’image catastrophique
2. Le temps de la catastrophe / Temporalité de la catastrophe
3. La catastrophe de l’espace / L’espace de la catastrophique / La mise en espace de la catastrophe
4. Interpréter la catastrophe / La catastrophe en tant que performance / le théâtre de la catastrophe
5. Matière catastrophique / résidu de catastrophe´

Disponível em:
http://www.manifdart.org/pages_fr/manif5.html

[] Gente a ver...

[] Color Chart: Footage from the installation of ZOBOP! at MoMA

http://www.youtube.com/watch?v=uBOMTGHCKC0

[] Jim Lambie . Color Chart: Footage from the installation of ZOBOP! at MoMA

'The Strokes (2008) by Jim Lambie

Fun and beauty: The Strokes (2008) by Jim Lambie. Photograph: Murdo Macleod

The word "genius" is the nuclear weapon in the critic's armoury. A lot of people think it should never be used. I used it a while ago and someone wrote to the Guardian complaining. I think they thought I was using it satirically - so rarely is this term employed and so dangerous is its aura.

Yet it has a venerable history. In Renaissance Europe the idea of the "genius" of the artist grew out of Neo-Platonic philosophy and the idea that creativity comes to the poet in a "fury", a frenzy. From the start it identified artistic excellence with transports of mind. Albrecht Dürer may have been the first artist to see himself as a "genius", portraying himself as a Christ-like messianic figure. Anyway I know a genius when I see one and the Glasgow artist Jim Lambie is a genius.

You can see Lambie's work in London this weekend at the Frieze art fair. It's not at any one site but all over the fair, at different dealers' stands. Sadie Coles HQ has a fantastic collage of eyes and cracked mirror glass. Sorcha Dallas has LPs set in concrete and a gold cube of broken doors. There are more wonderful things by him elsewhere at the event. Lambie is hot, it seems. And he deserves to be. I mean, man, does he deserve to be.

Here is an artist who apparently works in a frenzy of pure creativity, spewing out fun and beauty with energy, grace, and a strange, unfettered, totally unpretentious imagination. Without claiming any obvious social or political or indeed personal "meaning", and yet in ways and in materials that root his imagination naturally and easily in the everyday, Jim Lambie is a demiurge, a magician.

He can be fruitfully compared with both Joseph Beuys and
Jackson Pollock. Like Beuys he has an exceptional ability to take
ordinary physical objects and transfigure them into part of his own universe. Like Pollock he pours colour and line in ways that liberate energy and suggest the inner structures of the cosmos. Above all, Lambie is a pure artist - his art is totally self-sufficient in its worth and power. It is distilled energy, concentrated life. Marvellous stuff.

As the Renaissance writer Giorgio Vasari might have put it, truly celestial is Jim Lambie'.

Disponível em: http://www.guardian.co.uk/artanddesign/jonathanjonesblog/2008/oct/17/frieze-jim-lambie

[] jean-pierre-dupuy-penser-la-science-en-france-ou-aux-usa/

http://www.youtube.com/watch?v=pzH-pgZ7rcE&feature=player_embedded

Disponível em:
http://www.paperblog.fr/1756652/jean-pierre-dupuy-penser-la-science-en-france-ou-aux-usa/

[] Arte & Natura (com a presença de obras de Vieira da Silva e Arpad Szenes)

'Art & Nature
Le rapport infini entre art & nature a suscité dans le temps une variété d'images de forte intensité poétique. Dix ans après le fascinant Voyage vers les Alpes et au moment où l'on demande une sensibilité accrue pour l'environnement, voici les signes positifs que nous envoie le monde de l'art.
L'itinéraire précédent illustrait la découverte de la nature à commencer par Caspar Wolf, des romantiques jusqu'aux symbolistes, à travers la lecture des différents éléments du paysage.
La proposition actuelle considère le rapport établi par les artistes invités à participer à ce nouveau voyage qui se déroule entre la terre et le ciel, dans l'espace du tableau, sur la feuille de papier…
Les différentes interprétations du rapport entre l'art et la nature produisent une étonnante variété: chaque artiste exprime la qualité du langage et la sensibilité éthique propres au caractère individuel de son travail.
Les œuvres sont liées au naturalisme informel, poussées à la limite de l'abstraction; elles expriment une forte intensité lyrique, une finesse descriptive, une synthèse conceptuelle. Elles sont enfin liées à la définition d'un sentiment original de la nature.

Un livre à plusieurs voix, critiques et poétiques, accompagne cette exposition. Il s'agit de proses dans le vent, selon une phrase chère à François Cheng. Dans ce livre on entend les voix lointaines de Shitao, Rembrandt, Turner, Hugo, Wolf et bien d'autres. A côté des oeuvres des artistes, nous pouvons lire les textes de Matteo Bianchi, Yves Bonne-foy, Olivier Delavallade, Rosa Pierno et Jean Louis Schefer. Un florilège de la poésie de Philippe Jaccottet et de Gabriela Llansol — par Fabio Pusterla et Carolina Leite — ainsi que la reproduction des œuvres, sont aussi au sommaire du catalogue publié en coédition entre le muséeVilla dei Cedri et Pagine d'Arte'.

Disponível em:
http://www.villacedri.ch/index.php?node=350&lng=1&rif=b6265fe0da

[] Movie . Bienal de Lyon. 2005

http://www.biennale-de-lyon.org/bac2005/angl/movie.htm

[] Climate for Change 13 March - 31 May 2009

PRESS-RELEASE

Climate for Change 13 March - 31 May 2009

'For its first new exhibition of 2009, its UNsustainable year, FACT is proud to present Climate for Change, a unique experiment in activism, engagement and networking, examining the multiple crises affecting the planet – ecological, financial, food and housing. From peak oil to peak credit, Climate for Change seizes the moment, and asks how do we respond?

In Gallery 1, a range of groups will take up residence in an environment created from the leftover building materials from 2008's Capital of Culture year. The networked activities of Merseyside and beyond will become a key part of the experiment, as FACT hands over the keys to the door and becomes a hub for meetings, socials, discussions and workshops, supporting grassroots networks to practise and imagine new models of governance and organising - live in the gallery space. Dealing with topics as diverse as the Transition Town movement to underground nightclubs, Climate for Change speculates that distributed networks who share methods of self-organising are the most important tools we have for responding to sustainability.

Underpinning this action will be a number of artist-led activities. In Gallery 1, New York’s Eyebeam Art and Technology Centre stages its Sustainability Road Show – a series of hands-on workshops and activities that are both playful and social, highlighting Eyebeam's strong media lab culture built around tinkering, hacking, making and doing.

Artist Stefan Szczelkun presents his Survival Scrapbooks. Originally published in the early 1970s, the Survival Scrapbooks are DIY manuals for autonomous living, covering topics from “bio-diesel-making” to “increasing your chi”. Loosely formatted and intended to be re-edited in a pre-internet information-sharing format, the books will form the basis for workshops and discussion in Gallery 1.

Mute Magazine Contributing Editor Anthony Iles revisits the magazine’s Climate Change issue – Mute Vol 2, no.5 It’s Not Easy Being Green from May 2007 to update it in light of changing perspectives on finance, capital and current affairs. Iles will curate a discussion and screening series that runs throughout the exhibition.

Meanwhile, The People Speak and renowned think tank New Economics Foundation will unveil a new facilitation format that creates a dynamic conversation around sustainability and climate change.

In addition, Gallery 1 will house a loose and rotating line-up of artists working in Liverpool and beyond, including British-born Chinese artist Kao-Oi Jay Yung, activist Nina Edge and artist-led environmental group The Gaia Project in partnership with L@tE.

In Gallery 2, FACT presents Melanie Gilligan’s film Crisis in the Credit System. Originally commissioned and produced by Artangel Interaction, the fictional four-part drama explores the bizarre scenarios and disturbing conclusions employees from a major investment bank come up when they are invited to role-play a future-facing strategy for today’s unstable financial climate.

Berlin-based art duo Nik Kosmas and Daniel Keller (AIDS 3D) will unveil Forever, a new installation alluding to a post-apocalyptic future where our machines remain as beautiful relics of our former glory.

Copies of a spoofed New York Times newspaper, created by thousands of volunteers and originally distributed in November 2008 - but dated July 4, 2009 - will get a further outing at FACT.

In the Media Lounge, Copenhagen-based art and architecture collective N55 set up SHOP, a unique exchange area with its own alternative economy, where visitors can swap, borrow or use donated items.

FACT’s Atrium will become the drop off point for The Ghana Think Tank. A collaboration between artists Christopher Robbins, John Ewing and Matey-Odonkor, the project asks visitors to submit their problems which will be given to a network of Think Tanks established in Ghana, Cuba, El Salvador, Mexico, Ethiopia and Serbia to ‘solve’. Afterwards the artists will enact the solutions.

Notes to Editors

FACT’s new online arts channel, FACT TV (www.fact.tv) will stream video highlights from Climate for Change and related content throughout the exhibition’s run.

Artists involved in Climate for Change: AIDS 3D (USA), Eyebeam Art and Technology Centre (USA), The Ghana Think Tank (USA/Ghana), Melanie Gilligan (USA), N55 (Denmark), The People Speak (UK), Stefan Szczelkun (UK), The Yes Men (USA), Kao-Oi Jay Yung (UK), Nina Edge (UK), The Gaia Project (UK).

UNsustainable In 2009, Liverpool’s Year of the Environment, FACT responds with UNsustainable - its own theme for the year. FACT asks: is the way we live UNsustainable? Examining sustainability from an artistic perspective in a series of exhibitions designed to illustrate how humans can be invested in the change needed to protect our civilization. Is society itself becoming unsustainable?

SHOP by N55 is a collaboration between FACT and Radiator Festival, Nottingham'.

http://climateforchange.fact.co.uk/

[] PRESS RELEASE - sk-interfaces launches FACT's 2008 programme

PRESS RELEASE - sk-interfaces launches FACT's 2008 programme

Designer hymens, a composite coat made of blended skin cultures by legendary French artist ORLAN, a brain infused with glowing moss and non-animal ‘leather’ growing in the galleries, FACT (Foundation for Art and Creative Technology) presents a ground-breaking UK exhibition exploring the idea of skin as a place where art, science, philosophy and social culture meet.

sk-interfaces opens 01 February until 31 March 2008.

Curated by Jens Hauser, sk-interfaces launches FACT’s Human Futures programme in Liverpool’s year as European Capital of Culture and as an interdisciplinary exhibition will feature works from 15 international artists, including 2007’s Golden Nica winners at Ars Electronica.

“What used to be understood as a surface that represents the limit of the self and between the inside and the outside can today be seen as an unstable border. sk-interfaces is ideally placed within the cultural programme of Liverpool 08: Artists are exploring trans-species relationships, xenotransplantation, satellite bodies, endogene design, telepresence, permeable architecture and the ever pushed limits of art itself,” says curator Jens Hauser.

Formerly known for her surgery-performances in which she refigured her face and created new images referring to non-Western cultures, ORLAN presents her new work Harlequin Coat, a patchwork life-size mantle, which contains fusing in vitro skin cells from various cultures and species. This prototype of a biotechnological coat is made to symbolise cultural cross breeding.

The Tissue Culture and Art Project’s Victimless Leather investigates the possibility of producing ‘leather’ without killing an animal. Three miniature stitch-less garments are tissue-cultured live in the gallery. Artists Oron Catts and Ionat Zurr are behind the award-winning lab project SymbioticA (Golden Nica in Hybrid Art 2007 Prix Ars Electronica), the Australian–based research facility dedicated to artistic enquiry.

French duo Art Orienté objet has created biopsied, cultured, hybridized and tattooed skin made from their own epidermis and pig derma to create living biotechnological self-portraits. Marion Laval-Jeantet and Benoît Mangin’s work is intended to be grafted onto collectors themselves so they can physically wear and absorb an artists’ piece.

American artist Julia Reodica’s hymNext Designer Hymen Series confronts the values of purity and gender roles using the artist’s own vaginal tissue and animal muscle cells to create designer hymens. The sculptures pose as products to be marketed and are intended as objects of novelty for ‘re-virginisation’ thus addressing the issue of how different cultures value female virginity and the associated pressures.

Zbigniew Oksiuta from Poland will come to Liverpool to create a new version of his project Breeding Spaces in which a large 3D sphere of gelatin is grown in situ. The artist proposes the possibilities of designing biological spatial structures that can serve as a new kind of habitat and presents a new form of spatial coexistence between man and nature.

sk-interfaces will also feature further commissioned and existing projects from international artists such as Eduardo Kac, Jun Takita, Wim Delvoye, Olivier Goulet, Zane Berzina and Neal White among others.

Jens Hauser’s book sk-interfaces: Exploding Borders – Creating Membranes in Art, Technology and Society will accompany this landmark exhibition. Bound in a unique thermochromic cover (designed by artist Zane Berzina), this book provides an engaging, critical and thought-provoking approach to how current technologies are changing our perceptions of the body, the self and the interactions between bodies. Edited by one of the leading curators in (bio)technology based art and including contributions from 25 major international artists, scholars and critics in this field, this provocative art and text book examining some of the most contentious moral, aesthetical and philosophical issues of our day will complement the exhibition and encourage debate within this exponentially growing field.

Mike Stubbs, Director and CEO of FACT says, “FACT opens its 08 programme committed to pushing at the boundaries of how and what creative technologies and art can be. Touching on some of the biggest issues of our day FACT invites debate and conversation around life sciences and our changing relationships with our bodies and technology".

Notes to editors

Confirmed works
Art Orienté objet (France) Cultures de peaux d’artistes, Roadkill Coat
Zbigniew Oksiuta (Poland) Breeding Spaces
Yann Marussich (Switzerland) Bleu Remix
Julia Reodica (USA) hymNext Designer Hymen Series
Jun Takita (Japan) Light only Light
Tissue Culture and Art Project (Oron Catts and Ionat Zurr) (Australia) Victimless Leather
ORLAN (France) Manteau d’Arlequin
Neal White (UK) Truth Serum
Wim Delvoye (Belgium) Sybille
Olivier Goulet (France) Skin Bags
Zane Berzina (Latvia) Touch Me Wall
Critical Art Ensemble (US)
Eduardo Kac (Brazil)Telepresence Garment
Maurice Benayoun and Jean-Baptiste Barriere (France) World Skin: A Photo Safari in the Land of War
Jill Scott E-skin: Somatic Interaction
Stelarc Extra Ear: Ear on Arm

A large-scale conference will be held 08 – 09 February 2008 to examine the topics and issues surrounding this exhibition.

In 2008, FACT devotes its programme to one overall concept: Human Futures. The year is divided into three sections – My Body, My Mind and My World, each one hosting a major exhibition, conference and research focus. sk-interfaces launches this programme, exploring the biological environment and our relationship to the body.

For press requests contact Laura Finn Press and Communications Manager at FACT on +44 (0) 151 707 4444 or email laura.finn@fact.co.uk . For high-resolution images go to images.fact.co.uk/mktg

Ver mais
http://entretenimento.uol.com.br/ultnot/bbc/2008/01/31/ult2242u1585.jhtm
http://entretenimento.uol.com.br/album/bbc/sk_interfaces_album.jhtm
http://www.liv.ac.uk/researchintelligence/issue34/skin.htm

[] Orlan - Carnal Art

http://www.film-orlan-carnal-art.com/

[] Guggenheim . The third Mind

'This exhibition traces how Asian art, literature, and philosophy were transmitted and transformed within American cultural and intellectual currents, influencing the articulation of new visual and conceptual languages. It explores how American art evolved through a process of appropriation and integration of Asian sources that developed from the 1860s through the 1980s, when globalization came to eclipse earlier, more deliberate modes of cultural transmission and reception. While Europe has long been recognized as the font of mainstream American art movements, the exhibition explores an alternative lineage of creative culture that is aligned with America's Pacific vista—Asia.

Vanguard artists consistently looked toward "the East" to forge an independent artistic identity that would define the modern age—and the modern mind—through a new understanding of existence, nature, and consciousness. They drew ideas from Eastern religions, primarily Hinduism, Buddhism, and Taoism, as well as classical Asian art forms and performance traditions. Opening with the late nineteenth-century Aesthetic movement and the ideas promulgated in transcendentalist circles, The Third Mind illuminates the Asian influences shaping such major movements as abstract art, Conceptual art, Minimalism, and the neo-avant-garde as they unfolded in New York and on the West Coast. It also presents select developments in modern poetry, music, and dance theater.

The Third Mind refers to a "cut-ups" work by Beat writers William S. Burroughs and Brion Gysin, whose cult of spontaneity in art and life drew inspiration from Asian attitudes. This manuscript composed of random texts and images evokes the eclectic yet purposeful method by which American artists often appropriated material from Asia to create new forms, structures, and meanings in their work. Misreadings, mediations, denials, and imaginary projections emerge as important iterations of this creative process. Some artists identified with non-Western art and thought precisely to subvert and critique what they saw as the spiritually bankrupt capitalist West. Others culled alternative, East-West identities from transcendentalism, Theosophy, Carl Jung's formulations of the collective unconscious, and New Age movements preaching the perennial vitality of Asia's spiritual psychology in a global age. Still others simply extracted and freely enlisted what served their particular artistic impulses. Grounded in documentary evidence of the artists' encounters with Asia, this exhibition shows how artists working in America adapted Eastern ideas and art forms to create not only new styles of art, but more importantly, a new theoretical definition of the contemplative experience and self-transformative role of art itself.

—Alexandra Munroe, Senior Curator of Asian Art'

http://www.guggenheim.org/new-york/exhibitions/on-view-now/third-mind

[] José Parlá

'Ooi Botos Gallery is pleased to announce new paintings, works on paper, and photographs by Brooklyn based artist, José Parlá. This will be the artist’s first solo exhibition in Hong Kong.

The exhibition is presented during the Hong Kong International Art Fair and it will be accompanied by a fully illustrated catalogue with essays by scholars, Alexandra Chang - New York University Asia Pacific Center, and critical theorist and art historian, Michael Betancourt.

Aspects of Parlá’s new works recall his unique and playful inscriptions, diary like gestures with his trademark hand-writing used to document his observations of precise study and specific effects of the geographical environment in the urban landscape by the behavior of anonymous individuals on the streets in recent travels to France, Japan, and the United Kingdom.

Memories, thoughts, ideas, quotes, phrases, conversations and observations scrawled in a flowing mode reflect Parlá’s characteristic fusion of writing and painting, word and image.

His brushwork depicts walls out in the city or rural areas wherever he might be traveling through together with worlds of words that hint to stories within stories and evoke the places he has visited.

José Parlá was born in 1973 in Miami, and studied at The Savannah College of Art & Design in Georgia and at The New World School of the Arts in Miami. Following travels in the Caribbean, South America, Asia and Europe, Parlá settled permanently in New York. He has exhibited his work extensively since the early 90s.

His work has been collected and shown by Agnes B., Galerie Du Jour in Paris, and Takashi Murakami’s Kai Kai Ki Ki gallery in Tokyo. Major recent exhibitions include, The New Grand Tour showing in Hong Kong and Beijing (2007-08), Adaptation / Translation at Elms Lesters Painting Rooms in London (2008), and Layered Days with the Cristina Grajales gallery in New York City (2008)'.

Disponível em:
http://www.artslant.com/ny/events/show/48983-jos-parl-reading-through-seeing-new-works

Ver mais: www.joseparla.com
http://blog.honeyee.com/jose/

[] Picasso . Filme de Clouzot

[] Fernand Léger . Le ballet mecanique 1 / 2

One of the seminal films in the development of The Museum of Viral Memory was Ballet Mecanique.
The symphonic composition designed to, perhaps, accompany it was another of our great influences.
So, to celebrate, in 2000 we composed a new soundtrack for the film.

[] Camila Rocha

Intervenção Estocolmo . 2006

Disponível em : http://www.4pixel4.com/4pixel4/AlexAraujo.swf
Ver mais: http://www.hiap.fi/index.php?page=203&abr=0&art=85

[] Kelley Walker

Found image from anti-capitalist poster, defaced digitally.

[] Laurent Grasso

Laurent Grasso a reconstitué une forêt d'antenne comme à Gakona. C'est juste visuel, elles ne marchent pas... On aimerait sentir la peur monter en nous mais non, cela ne prend pas. Il y a un problème de taille et de perspective: l'installation parait trop engoncée dans ce petit espace. Elle parait trop inerte. On regarde puis on passe à l'installation finale...

Tout est fait pour faire monter la tension autour de la dernière installation réalisée par Micol Assaël: un panneau indique qu'il est interdit d'y aller si on a un pacemaker, qu'il ne faut pas se toucher les yeux, porter un appareil électrique et on signe une décharge pour entrer. Dans une ambiance sombre, Micol Assaël a disposé une vingtaine de panneaux en cuivre qu'il a relié à un générateur. Ces panneaux permettent ainsi d'ioniser l'air, créant une charge électrostatique dans l'espace. On se sent mal à l'aise face à cette force invisible: un léger bourdonnement se fait entendre pendant que des petits crépitements semblent surgir du bout de chaque cheveu. On se sent presque en transe tellement la sensation est étrange.

Et puis on ressort de l'installation et on entend un Me and You. Le charme disparait instantanément et on se dit que c'est quand même un peu léger tout ça...

A noter que le programme Haarp existe bien dans la réalité. Bien que les militaires américains s'en soient défendus, le docteur Nick Begich et la journaliste Jeane Manning ont émis l'hypothèse que le programme pourrait servir à modifier le climat, interrompre toute forme de communication hertzienne, détruire ou détourner avions et missiles transcontinentaux et finalement, influencer les comportements humains, tout cela via des actions sur l'ionosphère. Ils ont publié leur recherche dans le livre Les anges ne jouent pas de cette HAARP.
Le chercheur Luc Mampaey du GRIP conclut également dans le rapport Le Programme Haarp, Science ou Désastre ?: HAARP est un programme scientifique. Aux mains des puissants, il peut cependant conduire au progrès comme à l'oppression et au désastre. Sans préjuger des intentions finales des Etats-Unis, et reconnaissant que ce travail émet plusieurs hypothèses, et relaye certaines spéculations, il s'avère fonder d'affirmer que le programme HAARP, en synergie avec d'autres programmes militaires, peut conduire à des déséquilibres dangereux pour l'environnement et les populations.

Disponível em :

http://www.littlestylebox.com/160-L%27exposition-Gakona-au-Palais-de-Tokyo

[]Bibliografia UA . LITERATURA FRANCESA III DO RENASCIMENTO AO CLASSICISMO

Bibliografia

Obra de base para o estudo

RIBEIRO, Cristina Almeida; ABREU, Graça; MADUREIRA, Margarida. Literatura Francesa Clássica. Lisboa: Universidade Aberta, 1990 (capítulos 1 a 3 inclusive, 5 a 8, e capítulo 12 com a introdução das páginas 267 a 279).

Obras de leitura obrigatória

Jean Racine,

Phèdre, in Théâtre complet, edição de Jean Rohou e Paul Fièvre, Paris, La pochothèque, col. Folio Classiques, 2000.

Lettres portugaises, Lettres d’une péruvienne et autre romans d’amour par lettres, edição de Bernard Bray e Isabelle Landy-Houillon, Paris, Garnier-Flammarion, 1993.

Madame de Lafayette,

La Princesse de Clèves, edição de Bernard Pingaud, Paris, Folio Classique, 2000.

Rousset Jean,

Anthologie de la poésie baroque française, Paris, José Corti, 2 vols, 1989.

NOTA:

As edições referidas têm um valor meramente indicativo, tendo sido seleccionadas pelos critérios do rigor científico, actualidade, disponibilidade no mercado e acessibilidade de preço.

Bibliografia complementar

BARTHES, R.,

«Tacite et le baroque funèbre», in Essais critiques, Paris, Seuil, 1964, p. 108-111.

Sur Racine, Paris, Seuil, 1979.

BRAY, R.,

La Formation de la Doctrine Classique, Paris, Nizet, 1978 [1927].

DUBOIS, Cl.-G.,

Mythe et langage au XV^e siècle, Paris, Ducros, 1970.

Le maniérisme, Paris, PUF, 1972.

Le Baroque: Profondeurs de l'Apparence, Paris, Larousse, 1973.

L'Imaginaire de la Renaissance, Paris, PUF, 1985.

La poésie du XVI^e siècle, Paris, Bordas, 1989.

Essais sur Michel de Montaigne: la régulation de l’imaginaire éthique et politique, Orléans, Ed. Paradigme, 1992.

Mots et règles, jeux et délires: études sur l’imaginaire verbale au XVI^e siècle, Orléans, Ed. Paradigme, 1992

Le baroque en France et en Europe, Paris, PUF, 1995.

DUFLO, C. (et alii)

De Rabelais à Sade. L’analyse des passions dans le roman de l’âge classique. Saint-Étienne: Presses Universitaires de St. Étienne, 2003.

ESMEIN, C.,

Poétiques du roman: Scudéry, Huet, du plaisir et autres textes théoriques et critiques du XVIIe siècle sur le genre romanesque. Paris: Champion, 2004.

FAUCONNIER, D.,

Études sur Guilleragues, Lettres portugaises. Paris: Ellipses Marketing, 2005.

FRIEDRICH, H.,

Montaigne, Paris, Gallimard, 1968.

FUMAROLI, M.

L’âge de l’éloquence. Rhétorique et res literaria de la Renaissance au seuil, de l’époque classique, Paris, Albin Michel, 2000.

GENETTE, G.,

«Hyperboles», in Figures I, Paris, Seuil, 1966, p. 245-252.

«Vraisemblance et motivation», in Figures II, Paris, Seuil, 1969, p. 71-99.

GOLDSMITH, E. (et alii),

Lettres de femmes. Textes inédits et oubliés du XVe-XVIIIe siècles. Paris: Champion, 2005.

Littérature, nº 137, Março de 2005 - «La singularité d’écrire aux XVIe- XVIIIe siècles».

Littérature classiques, nº 50, 2004 - «Les langages du XVIIe siècle».

MARIN, L.,

«Le pouvoir du récit», in Le récit est un piège, Paris, Minuit, 1978, p. 7-34.

«La raison du plus fort est toujours la meilleure», in La parole mangée, Paris, Méridiens Klinksieck, 1986, p. 61-88.

MATTHIEU-CATELLANI, G.,

Mythes de l’Éros baroque, Paris, PUF, 1981.

La conversation conteuse. Les Nouvelles de Marguerite de Navarre, Paris, PUF, 1992.

Montaigne ou la vérité du mensonge, Genève, Droz, 2000.

MÉCHOULAN, E.,

Le livre avalé: de la littérature entre mémoire et culture (XVIe-XVIII siècle). Montréal: Presses Univ. De Montréal, col. Espace Littéraire, 2005.

PRIGENT, M.; LESTRINGANT, F.; ZINK. M. (dir.),

Histoire de la France Littéraire, tome I: Naissances-Renaissances, Moyen Âge-XVI^e siècle, Paris, PUF, 2006.

PRIGENT, M.; DARMON, J.-Ch.; DELON, M. (dir.),

Histoire de la France Littéraire, tome II: XVII-XVIII^e siècle, Paris, PUF, 2006.

RABREAU, D. (et alii),

Les éléments et les métamorphoses de la nature. Imaginaire et symbolique des arts dans la culture européenne du XVIe au XVIIIe siècle (Actes du Colloque International de Bordeaux, 17-21 Septembre 1997). William Blake And Co, Col. Annales du centre Ledoux, 2004

RAYMOND. M.,

Baroque et renaissance poétique, Paris, José Corti, 1955.

ROUSSET, J.,

Forme et signification. Essai sur les structures littéraire de Corneille à Claudel, Paris, José Corti, 1989.

La littérature de l’âge baroque en France. Circé et le paon, Paris, José Corti, 1989.

SEIXO, M. A.,

«La Princesse de Clèves: une théorie de l’éclat», Ariane, 2, 1983, p. 43-67

SELLIER. Ph.,

Essais sur l’imaginaire classique. Pascal, Racine, Précieuses et moralistes, Fénélon, Paris: Champion, 2005

STAROBINSKI, J.,

«Racine et la poétique du regard», in L’œil vivant, Paris, Gallimard, 1961.

TAPIÉ, V.-L.,

Baroque et classicisme, Paris, Hachette, 2005.

VERSINI, L.,

Le roman épistolaire, Paris, PUF, 1979.

NOTA:

Esta bibliografia integra obras consideradas essenciais para o aprofundamento da matéria abordada por esta disciplina. Neste sentido, retoma, seleccionando-as, algumas das referências citadas pelos manual, procurando igualmente oferecer informação mais actualizada.

Webgrafia

Ferramentas de análise literária e de investigação

· http://abu.cnam.fr (biblioteca virtual que disponibiliza inúmeras obras integrais da Idade Média ao século XIX).

· http://www.aleph.ens.fr (motor de busca em literatura).

· www.fabula.org (sítio de investigação em literatura: congressos, publicações, seminários...).

· http://www.fcsh.unl.pt/edtl/index.htm (dicionário on-line de termos literários: um instrumento importante para a análise de texto).

· http://gallica.bnf.fr (sítio da Biblioteca Nacional de França que disponibiliza textos de literatura francesa online de várias épocas e onde poderão encontrar exposições virtuais com notável interesse pedagógico. Convido-vos a consultar nomeadamente os dossiers, extremamente ricos, bem elaborados e concisos, sobre os séculos XVI e XVII onde estão disponibilizados em linha a maior parte das obras que constam do programa desta unidade curricular).

· http://www.sudoc.abes.fr (Sistema universitário de documentação: pesquisa bibliográfica na rede de bibliotecas francesas).

· http//www.unice.fr (Rede de sítio de bibliotecas universitárias francesas).

· http://www.etudes-litteraires.com (um site a não perder, uma vez que oferece interessantes instrumentos de trabalho no campo dos Estudos Literários: orientações metodológicas para o comentário de texto; dicionário de termos literários/estilísticos; antologia de textos organizada por séculos; pistas de leitura de alguma obras de referências, algumas das quais constando do programa desta unidade curricular).

Sítios específicos sobre literatura e cultura renascentistas e clássicas

· http://www.alalettre.com/HFcenter_accueil.htm (apresentação de escritores franceses entre os séculos XV e XX).

· http://www.cesr.univ-tours.fr/Epistemon (textos electrónicos e estudos sobre o Renascimento).

· http://www.bribesorg/trismegiste/montable.htm (os Essais de Montaigne em linha).

· http://www.histoire-en-ligne.com/spip.php?rubrique77 (Fables de La Fontaine disponibilizadas em linha).

· http://www.renaissance-amboise.com/dossier_renaissance/son_esprit/humanisme.php (um espaço interessante para descobrir as várias facetas sócio-políticas, filosóficas, literárias e culturais que caracterizaram o Humanismo).

· http://www.site-magister.com/pleiade.htm (sobre o movimento da Pléiade com alguns textos em linha).

Disponível em:
http://www.univ-ab.pt/disciplinas/dchs/lf31085/index.htm